19 février 2011

The Prowler (1981)

Ce film est aussi connu sous le nom Rosemary's Killer. Pas certain qu'il est vraiment plus connu sous ce nom...

Un des premiers films réalisés par Joseph Zito, celui qui nous a généreusement offert Invasion U.S.A. avec Chuck Norris. Ce film lui a d'ailleurs permis d'éventuellement réaliser Friday the 13th, the Final Chapter

Mais soyons franc, c'est un mauvais film avec plusieurs incohérences. Film à petit budget, donc de série B, je l'ai avant tout écouté pour un article sur Zito qui apparaîtra éventuellement sur le site extrabeurre.com, projet que j'ai entrepris avec Timothée Revil, vous irez voir ça ! C'était pour ce site qu'on avait subit les "Gingerdead Man".

Je dirais que c'est une structure très standard du film d'horreur/suspense, mais sans budget. 

Petit fait cocasse, les film est coté 5.8 sur IMDB, soit 0.1 point de moins que de The Switch. Comme quoi les cotes ne valent souvent pas dire grand chose !

3/10


18 février 2011

Year One (2009)


Beaucoup de blagues de pets, de crotte, de pénis, etc. Dans le lots, il y en avait quelques-unes de drôles.

Histoire erratique et faible, mais peu importante.

En gros, c'est un film cave, mais avec tout de même des bons gags.

6.5/10
IMDB


17 février 2011

The Godfather (1972)

La trilogie "The Godfather" est une des raisons qui m'a poussé à faire cet exercice de rattrapage. Je ne les avais jamais vu, j'ai donc créé l'opporunité.

Ce sont des "must", des classiques. Alors il est pratiquement inutile de signifier l'excellence du scénario, de la réalisation et du jeu d'acteur. Et quelle brochette : Marlon Brando, Al Pacino, Robert Duvall, James Caan !

Plusieurs le savent, mais pour ceux qui l'ignoraient encore, la gueule de truand de Brando ainsi que sa diction erratique proviennent d'une magnifique idée de l'acteur de se mettre des mouchoirs dans la bouche. Way to go Brando !

Le seul hic, qui n'existait pas en 1972, est le jeu très théâtrale des acteurs qui meurent lors des fusillades. Normale à l'époque, disons que la technique a évolué pour le mieux au cours des décennies. La mort de de Vito Carleone (Brando) était déjà plus dosée, plus crédible, prouvant le grand talent de l'acteur.

Je dois noter pour ce que j'ai vu aujourd'hui et non ce que j'aurais vu en 1972 alors...

8/10
IMDB


16 février 2011

JCVD (2008)

Vers la fin des années 80 et le début des années 90, il y avait 3 rois : Chuck Norris, Steven Seagal et Jean-Claude Van Damme. Moi j'étais du type Van Damme. Norris était trop "redneck" et Seagal trop "creepy", je n'aurais pas covoituré Montréal / Québec tout seul avec lui et sa "pony tail" louche. Je l'avoue, j'avais même un poster de J-C dans ma chambre. Un vrai fan.

Cette affiche est coupable
d'avoir décoré ma chambre
pendant plusieurs mois.
Il y a eu ensuite internet, et j'ai pu voir, comme toute la planète, les célèbres entrevues de Van Damme, dont le fameux "je suis aware". Bref, le web m'a permis d'embarquer dans le groupe de ceux qui le trouvaient maintenant ridicule.

Mais comme il le fait si bien dans ses films, il a décidé que c'en était assez, et qu'il fallait et allait rétablir l'ordre. Il a alors produit JCVD. Ben crime, comme dans ses vieux films, il a vraiment bien pris les choses en main ! C'est pour ça que je l'aime moi Van Damme.

Empreint d'une forte auto-dérision, JCVD (pour Jean-Claude Van Damme, tsé) nous montre l'acteur subissant sa vie. On le voit à la cour se battant pour la garde de sa fille, discuter avec son agent à propos d'un contrat, mais surtout, on le voit pris en otage lors d'un braquage de banque qui tourne mal.

Le film est bien écrit et réussit à nous faire comprendre un peu le parcours de Van Damme. Exemple, on le voit discuter avec son agent en lui demandant s'il est possible de ne pas être payé pour faire un film à petit budget car il trouve ridicule de gruger tout le budget avec son salaire. Il voudrait juste faire un film qui a du sens. On comprend qu'il a été une marionnette plus qu'autre chose. On y croit en se foutant bien de savoir si c'est la vérité.

C'est un film rigolo mais humain à la fois. De voir la fille de "The Muscles of Brussels" expliquer en cours qu'elle ne veut pas habiter avec son père parce que c'est ami(e)s se foutent de sa gueule quand ils voient son père à la télé, c'est un brin touchant, on trouve ça plate pour lui. Une belle scène aussi celle où l'on voit un J-C stoïque, pris en otage, s'écouter dire n'importe quoi dans de vieilles entrevues, dont celle du fameux "aware".

Beau clin d'oeil aussi à ses monologues lourds de sens qui finit par "...un truc comme ça".

Bien réalisé, bien écrit, ça remet les pendules à l'heure tout en divertissant. C'est un film Belge donc en français en passant (la version originales bien sûr).

8.5/10
IMDB

(Pas trouvé la bande-annonce en V.O., donc la voici en anglais...)

15 février 2011

Get Him to the Greek (2010)

Je pensais aimer plus que ça, sûrement parce que Philippe avait créé des attentes en m'en parlant. Je dois malheureusement admettre que j'ai trouvé ça moyen.

Je n'arrive pas à mettre le doigt exactement sur ce qui fait que je n'ai pas apprécié le film. Je crois que c'est un ramassis de petites choses comme le jeu de Russell Brand qui fait une rockstar crédible sauf lorsqu'il doit vraiment le faire. Je veux dire que lorsqu'il joue la rockstar en prestation, je n'y ai pas cru. Ses mouvements weirds et efféminés me perdaient complètement.

Les situations en tant que telles ne sont pas vraiment intéressantes non plus. Ils y avaient quelques bon gags par-ci par-là, mais pas suffisamment pour me faire dire que j'ai passé du bon temps.

6/10
IMDB

14 février 2011

The Switch (2010)

C'est la St-Valentin, je laisse madame choisir, elle peut même prendre une film de fille. Elle a sauté sur l'occasion !

Je ne suis pas un grand connaisseur du genre, mais je crois qu'il est quand même moins habituel de voir un homme comme personnage principal dans ce style. Bien joué, comme ça, le gars "pogné" (disons le) pour regarder le film avec sa blonde peut plus facilement s'identifier au personnage et ainsi mieux apprécier le moment. C'est pas cave.

Je n'ai pas détesté, contrairement à la majorité sur IMDB qui donne une note globale de 5.9. C'est certain que je n'ai pas fait le saut à la fin, mais je ne m'y attendais pas non plus. C'est construit de façon très stardard, rien d'innovateur là-dedans et si quelqu'un a écouté ce film en espérant y trouver une révolution scénaristique, c'est lui qui se mérite une notre de 5.9. Faut pas écouter ça pour ça !

Je ne suis vraiment pas un fan du botox, et je crois sincèrement que Jennifer Aniston devrait arrêter ça là, sinon elle va commencer à ressembler à un chat ou son synonyme, Manon Leblanc. Putain de Hollywood, je le déteste quand il rend les belles femmes en plastique.

7/10
IMDB


13 février 2011

The Town (2010)

On pourrait, avec raison, s'attendre à un film d'action commun. Mais The Town est bien dosé et nous évite une surdose de "pow pow", un peu comme les barres tendres sucrées-salées. On a ici des bons dialogues et de la bonne action.

Faut dire qu'il s'agit d'un autre film provenant d'un roman, soit "Prince of Thieves" de Chuck Hogan. Ben Affleck doit avoir apprécié le livre parce qu'il a décidé d'en faire un scénario où il jouerait le premier rôle et, tant qu'à y être, de réaliser le tout. Et vous savez quoi ? C'était une excellente idée. Je l'aime bien moi Affleck, talentueux l'jeune !

Pour le fun de même là, vous savez c'est quoi le titre du premier film (court-métrage en fait) réalisé par Ben Affleck ? Pas mal certain que non alors le voici et apprenez-le par coeur pour épater la galerie : I Killed My Lesbian Wife, Hung Her on a Meat Hook, and Now I Have a Three-Picture Deal at Disney

8/10
IMDB