Je croyais à tort que tout le film était centré sur le personnage de Williams, simplement parce que c'était la seule chose que j'avais entendu concernant le film. La vérité est que l'histoire de Mel, acteur qui soudainement devient flou, n'est qu'une des multiples petites histoires que Allen a introduit de belle façon dans son film. De telles histoires absurdes, ça vient me chercher...
Les sujets classiques de Allen reviennent, soit le sexe, la masturbation et l'amour libre. Pas que j'en ai écouté beaucoup, mais je le sais comme on sait qu'il y a du curry dans les mets indiens même si on n'en mange pas chaque semaine. Je me souviens du mockumentaire Zelig (1983) dans lequel Allen jouait l'homme-caméléon qui à la fin faisait semblant d'être un professeur de masturbation ayant peur d'être en retard et affirmant que le groupe allait commencer sans lui.
Je devrais écouter plus de Woody Allen, j'ai bien aimé ça. Une belle absurdité, des dialogues écoeurants. Je vais sûrement me le procurer pour le réécouter l'an prochain.
8.5/10
IMDB
La scène de l'enfer.
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