23 juillet 2011

Toute bonne chose ...

Ça aurait été vraiment l'fun de réaliser l'exploit. 1 film par jour pendant 1 an, c'est quelque chose ! J'aurai quand même réussi à le faire pendant près de 100 jours. Même si je dois m'avouer vaincu, je suis fier d'avoir tenter le défi et de m'être tapé plus de 90 films de suite.

Le but premier du projet était de faire du rattrapage et de me redonner le gout d'écouter des films. Sous cet angle, disons que c'est mission accomplie. Depuis mon dernier billet, j'ai écouter plusieurs films, mais je n'ai pas pris les 30, 45 ou même 60 minutes nécessaires pour écrire ma "critique".

Merci à ceux qui m'ont suivi.

P.S. N'écoutez pas "The adjustment bureau", grosse merde ...

Kev

13 mai 2011

Scream 4 (2011) & Incidious (2010)

Je suis toujours vivant !

Mon ancienne routine est revenue hantée ma vie, celle où je n'écoutais pas beaucoup de films et où m'était venue l'idée de faire un blog pour rattraper le temps perdu. Mais bon, que voulez-vous ?

Reste que j'écoute encore des films quelques fois, comme cette fameuse soirée du vendredi 13 où Gabriel à eu l'idée de faire une sortie de couples et d'aller écouter des films d'horreur au ciné-parc. Dans une Yaris. Un soir de pluie. À St-Eustache...

Bon ok, cette idée pourrait se comparer à celle de se donner le défi de courir tout nu début mars dans un champs de roses. C'est drôle de le faire, mais c'est pas nécessairement agréable !

Le programme double débutait avec Scream 4. Honnêtement, je ne crois pas avoir écouté les 3 premiers, seulement la première parodie. D'ailleurs, je me suis demandé pendant un bon 111 minutes si je n'écoutais la suite de ces dites parodies. Ce qui n'aidait pas, c'est qu'au ciné-parc de la ville où les clientes de station-services donnent le goût de cracher au visage, les films sont en français. Le mince pourcentage de sérieux que contenait Scream 4 venait donc d'en prendre un coup.

Faut dire que le film nous avertit dès le début que nous aurons à faire à une niaiserie assumée. La première scène du film, où deux filles se font assassinées, se trouve à être une scène de Stab 4, un film écouté dans la deuxième scène du film où une des deux blondes tue l'autre. Mais cette dernière scène se trouve à être une scène de Stab 5, le film qu'écoute deux copines qui reçoivent un téléphone d'une voix "FM" qui leur demande le titre de leur film d'horreur préféré. Un film, dans un film dans un film... Mettons que j'avais plus que décroché, je commentais donc sans gênes toutes les absurdités, et bâtard qu'il y en avait ! Du beau gros jeu d'acteurs digne du théâtre d'été de Rougemont mais dirigés par un Wes Craven sous l'effet d'une trop grande dose de cognac à 300$ la gorgée.

Bon j'en ai déjà assez dit sur cette merde. LOUEZ PAS ÇA !!

Nous jouissons de 20 minutes pour aller pisser dans les toilettes d'un marché au puces digne de porter fièrement ce nom grâce aux chandails de loups et bâtons d'encens agrémentant le chemin vers l'urinoir.

Le deuxième film commence, Incidious. Un enfant avec des yeux lumineux, c'est toujours plus gagnant qu'un masque vendu pas cher chez walmart à chaque année.


C'était un meilleur film, pas de doute, mais pas un bon film. Trop de longueur et un "démon" un brin étrange et cartoonesque à la fin. On n'a pas peur, mais on fait le saut peut-être une ou deux fois. Une des grosses tensions du film, où l'on sent qu'on va avoir une p'tite chienne valant notre 13$ payé au début se termine par.... un putain de clignement d'oeil. Va chier James Wan. Un clignement d'oeil, c'est ça le gros hit de ton film ? Tu nous fais suivre un père de famille pendant 20 minutes dans un monde parallèle se résumant à du noir pour aboutir à un putain de clignement d'oeil d'une quasi statue. Hey, wow ! Tu ris de moi, pis je le prends mal. Savez-vous quoi, j'ai même le goût de vous donner le punch de la fin. Le père se fait prendre en photo pis là on voit que finalement, une mauvaise âme à réussi à prendre possession de son corps. Grosse surprise hien ! Entre ça et avoir un mal de coeur de bonbons à cannelle le jour de la St-Valentin, je me demande ce qu'il y a de plus surprenant.

Je pense réellement que les plus horribles horreurs se retrouvent de nos jours sur youtbe où l'on peut voir des gens de fracturer le visage où se faire détruire par un train. Les producteurs/réalisateurs se doivent de réinventer le film d'horreur, voire juste la tension à l'intérieur de leurs oeuvres s'ils espèrent toucher encore un public relativement large pendant encore quelques années.

Sream 4
2/10
IMDB


Incidious
4/10
IMDB

2 avril 2011

Battle Royale (Batoru rowaiaru) (2000)

Recommandation de Alexis Poulin-Herry !

Je m'attendais à un film japonais classique avec ben du criage, du monde qui saute dans les airs et des bagarres impossibles à la Bruce Lee. Je me suis encore trompé, moi et mon jugement primaire ! Alexis m'avait pourtant averti que ce n'était pas ça, mais comme je suis Thomas, je n'allais pas le croire tant que je n'allais pas le voir. Je l'ai vu, je le crois.

La toile de fond est excellente, différente : dans un proche future, le gouvernement met au point le régime Battle Royale consistant à envoyer, à chaque année, une classe de jeunes sur une île dans le but avoué qu'il n'en reste qu'un à la fin. Sous la forme d'un jeu, mais sans réel consentement, les jeunes devront s’entre-tuer pour tenter d'être le dernier survivant et ainsi gagner... ben le droit de vivre finalement. Je ne suis pas encore certain du pourquoi de la création de ce régime, je crois qu'il l'explique au début du film, mais franchement, entre vous et moi, c'est peu important pour l'histoire.

L'avantage d'avoir cette toile de fond différente est qu'elle nous garde attentif tout au long du film, ce n'est pas une réplique d'une réplique d'un vieux film qui au font répliquait la vie de son auteur. Comme je l'ai déjà écrit, je trouve que le cinéma sert avant tout à nous amener (parfois de force) dans un univers absurde, surréaliste que l'on ne pourrait rencontrer ailleurs.

Il y avait quelques longueurs, une en particulier, au début, où l'on nomme pratiquement tous les étudiants qui participent au "jeu". À tour de rôle, on leur donne leur numéro en disant leur nom pour ensuite leur donner leur sac contenant l'arme et les vivres. le problème, c'est qu'ils sont QUARANTE !!! On en saute quelques-uns, mais pas assez pour éliminer la longueur qu'apporte la scène.

En gros : 7.5/10
IMDB

27 mars 2011

The International (2009)

Ben oui, j'ai écouté un film ! Après 3 semaines de latence, de paresse et de ressourcement (j'dis n'importe quoi là, fallait que je trouve un troisième mot) me revoici sur le Internet pour raconter des balivernes.

Donc aujourd'hui, en plus de m'être tapé un film de série B pour Extra Beurre (Ice Twisters), j'ai pris la chance d'écouter The International, film pas si bien coté que ça sur IMDB.

Ben du bla bla, ben de la conspiration, pis pas beaucoup d'action, vraiment pas beaucoup, une scène, peut-être deux si recevoir un miroir d'autobus en pleine gueule compte pour de l'action.

Ben honnêtement, à la fin du deux heures que dure le film, je ne savais plus trop qui étaient avec qui, qui étaient les méchants, qui étaient les bons. J'ai écouté le film comme j'écoutais en classe quand le cour était presque intéressant.

Et S.V.P., ne me demandez pas de vous résumer le film parce que ça pourrait ressembler à "Ben c'est avec Clive Owen, qui a un air de cul tout le long parce qu'il cherche à venger quelque chose (sûrement la mort du gros au début) pis que ça l'empêche de dormir. Pis tous les méchants se font tirer par des plus méchants fac on sait pas vraiment c'est qui les méchants. Maudite conspiration à marde !"

5.5/10
IMDB

2 mars 2011

Abonnez-vous !

C'est officiel, je slack les normes de mon défi. La manque de temps, de motivation et mes autres projets qui battent de l'aile me forcent à agir ainsi.

Alors pour ceux (les 3 ou 4) qui suivaient assidûment mon blogue, j'ai installé un petit widget qui permet de vous inscrire et ainsi recevoir un avis lorsqu'un nouveau billet sera "posté".

Je prévois toujours me rendre à 365, mais ça prendra plus qu'un an...

Kev

28 février 2011

Les Amours Imaginaires (2010)

Je pense qu'il vaut mieux que j'avertisse tout de suite, je suis très heureux pour Xavier Dolan, pour tout son succès, toute sa reconnaissance. Je commence en disant ça parce que je sais que ce qui va suivre ne va certainement pas le laisser transparaître, peut-être même le contraire. Ouin, j'avoue que c'est comme dire "j'suis pas raciste là, mais...".

Autre avertissement, mon article va sûrement être décousu par ce que je ne sais pas par où commencer tellement j'en ai à dire.

J'ai un gros, gros défaut. J'ai de la difficulté à dissocier l'homme de l'artiste. Donc, Dolan se voit subir le même sort que Christian Bale. Je ne suis pas capable de sentir son attitude, son parlé en français international même quand il dit à sa façon qu'il doit aller chier ses roteux.

J'écrit en écoutant le film (question de pouvoir tout faire) et en ce moment, il y a une autre scène au ralenti, ça doit être la douzième, avec Dalida qui chante pour une xième fois Bang Bang avec sa prononciation accrue du "gue" à la fin de "bang". J'ai l'impression que si le film n'avait pas de scènes au ralenti, il faudrait éviter d'aller aux toilettes au début pour ne pas rater la fin. J'suis d'accord pour une scène, ça fait beau, mais pour 32, ordinaire.

J'ai comme l'impression Dolan vendrait sa mère (ou son corps) pour vivre dans les années ou faire du cinéma de nouvelle vague faisait de toi l'un des plus cool cinéastes à manipuler la caméra. Hypothèse personnelle : ce style a sûrement pesé fort dans la balance du ticket de Cannes. De voir qu'un si jeune réalisateur peut porter cette vieille âme a certainement fait bander plus d'un vieux cinéastes mélancoliques et déprimés de voir la pellicule perdre du gallon devant le numérique.

Autre impression, Dolan a compris la recette classique du film d'auteur popularisée dans les années 60 (plus ou moins 25 ans) et il ne fait que bien la refaire utilisant son scénario comme moule. Ça se voit par ses affiches, ses plans de caméra, ses dialogues qui souvent ont de la difficulté à coller aux personnages et les éléments (décors, accessoires, coiffure et costumes (même s'il y a tentative de justification)) incluent dans ses films. Dolan, c'est le Simple Plan du cinéma.

J'ai déjà entendu Dolan dire qu'il ne faut pas prendre les spectateurs pour des cons en leur offrant tous crus dans le bec. J'suis d'accord. Mais ses images contredisent ses paroles. En faisant un film d'auteur, il croit peut-être être conséquent, mais de faire des belles images d'Artiste et de longs plans dignes de Persona ne suffisent pas pour faire croire que l'on ne prend pas le spectateur pour un être moins intelligent que Xavier Dolan. De mettre sans cesse l'emphase sur un aspect comportant plus d'un degré, pour moi, c'est comme de dire "ok r'garde là, prends l'temps qui faut, je sais que c'est pas facile pour toi de voir plus loin mais t'es capable. Le gars est gai, et il dit qu'il n'aime pas les cerises...tu comprends, tu veux que je rewind pour être certain ?" C'est maintenant connu, Xavier Dolan ne manque pas de prétention, alors comment veux-tu ne pas faire un produit prétentieux ?

Bref, tant mieux pour lui, mais ce n'est pas le genre de cinéma qui me fait triper, qui me parle. Ce n'est pas vrai, c'est trop prétentieux, c'est trop pas moi. Woody Allen est un homme extrêmement intelligent, mais sa non-prétention qu'il utilise, cette auto-dérision fait de ses films des produits vraiment divertissants et intéressants.

6/10
IMDB

27 février 2011

New-York Stories (1989)

Je croyais que c'était un film de Woody Allen. C'est un peu ça, en fait, c'est ça à 33%.

Étant sûrement l'inspiration de Montréal vu par..., New-York Stories est un film fait de 3 moyens métrages (environ 40 minutes chacun) et je vous laisse deviner quel est leur sujet central. En plus de Woody Allen, on peut y voir des courtes réalisations de Francis Ford Coppola et Martin Scorsese, rien de moins.

Naturellement, celui de Allen nous amène dans un univers complètement absurde dans lequel on y voit un homme dont la mère très juive disparaît lors d'un spectacle de magie mais réapparaît dans le ciel de New-York pour continuer son travail de mère poule jusqu'à ce qu'il trouve la femme correcte qu'il pourra marier.
J'ai aussi bien aimé celui de Scorsese où l'on voit le côté "vie d'artiste" de New-York avec un Nick Nolte toujours aussi excellent qui fait très bien dans le rôle de l'artiste pas très propre physiquement et éthiquement parlant. 
Pour ce qui est du Life Without Zoe de Coppola, c'était correct sans plus. Disons qu'ils ont bien fait de le mettre au milieu, ça se digère mieux et ça s'oublie vite.

Pour l'ensemble de l'oeuvre...
7/10

Désolé, je n'ai pas vraiment trouvé de vidéo assez
représentatif pour insérer dans mon billet. Si jamais
vous voulez absolument voir un vidéo,

26 février 2011

Un p'tit break

Je sais, j'ai pris deux jours de congé. Faut dire que j'avais aussi pris de l'avance. Ce n'était pas supposé fonctionner comme ça, mais heille, JE fais les règlements de MON défi ... ok !

Je recommence demain, promis. Je serais donc 95 en 95, quand même pas si mal !

Kev

23 février 2011

Bitter Feast (2010)

Une ben belle pochette...

Je n'aime pas utiliser la comparaison, (ok j'aime, mais je trouve plate de l'utiliser) mais ça avait vraiment l'air d'un film canadien anglais. 

Quand un des gros moments de tension du film est de savoir si un jaune d'oeuf va se mettre à couler... tsé. Un réalisateur hors-pair pourrait sans doute créer un véritable suspense, comme Hitchcock mettons, mais pas Joe Maggio. 

L'histoire aurait pu faire un bon roman, où la psychologie des personnages prendrait l'avant-plan en poussant la base de l'histoire du revers de la main. Mais un film qui se concentre sur la prise en otage d'un critique culinaire par un chef cuisinier psychopathe, je refuse, en tout cas, de cette façon là je refuse. 

D'après l'allure de Maggio, je peux confirmer qu'il ne sort pas d'un Cégep en concentration cinéma. D'après Bitter Feast, on pourrait en douter. 

Et quoi dire de certains personnages grotesques comme le supposé détective à la coupe Longueuil et moustache qui fait de l'attitude. Même pas 0 crédible, -12 crédible.

Pis la trame sonore est gossante avec ses percussions redondantes et bruits de semi film d'horreur du genre "t'inquiète, avec l'ambiance qu'on va mettre, ça va être malade". Je l'ai presque été en effet.

4.5/10

P.S. On voit clairement la police (le "font") dans la redondance de la texture des lettres du titre dans l'affiche. Come on, force toi un peu pour faire de quoi de personnalisé rendu là ! Pas un film de famille que tu fais Joe !



22 février 2011

American Psycho (2000)

Je ne l'avais jamais vu au complet, juste quelques scènes dont celle qui m'avait marqué où Patrick Bateman baise deux filles en se regardant les biceps dans le miroir. Avec des flashs du genre, avouez que vous aussi vous voudriez voir le reste dans l'ordre.

C'est un excellent film, les dialogues et monologues sont écoeurants. Ça vient d'un roman de Bret Easton Ellis, le même qui avait écrit le roman qui a donné The Rules of Attraction, mais j'ai de loin préféré American Psycho.

Fait intéressant, Partick Bateman se trouve à être le frère de Sean Bateman, personnage principale de The Rules of Attraction.

Il y a aussi un rapport intéressant à la musique dans ce film qui se déroule à la fin des années 80. Belle scène que celle où Bateman analyse les chansons de Phil Collins en dirigeant littéralement deux putes comme le ferait un réalisateur de film porno.

Je l'ai déjà dit et je le répète, je n'aime pas Christian Bale l'homme. Ça fait que j'ai de la difficulté à aimer son travail. Mais j'avoue qu'il est excellent dans ce film. Je me plais à croire qu'il y avait un peu de lui là-dedans. Je le vois sans problème en misogyne/misanthrope discuter de la stupidité des femmes. J'aimerais travailler sur un plateau juste pour le regarder dans les yeux pendant une scène et lui cracher au visage lorsqu'il se mettrait à m'engueuler parce que j'existe. Bon, je m'emporte...

8.5/10
IMDB

Intro du film, j'ai baucoup aimé la métaphore du masque transparent
qu'il s'enlève tranquillement dans la douche. 

21 février 2011

The Other Guys (2010)

Le film est commencé depuis une minute et déjà on vient clairement de dépasser le budget de trois films québécois. C'est ça Hollywood !

Deuxième observation de taille (attention au jeu de mot), Marky Mark a pris de la bédaine. Bon ok, il a tout perdu pour The Fighter, c'est ça la joie d'être acteur à Hollywood !

C'est un film rigolo, mais surtout vraiment cave, des fois tellement que ça devient simplement cabotin. Il n'y a pas la touche "zoolanderesque" qui aurait pu rendre ce film vraiment bon.

Si ça n'avait pas été de la scène du bar (voir vidéo), j'aurais donné une note de 6.5.

7/10
IMDB


Je me permets de prendre quelques lignes pour chialer sur le fait que le site de IMDB nous donne maintenant beaucoup trop de titres en français et/ou en version soit canadienne ou européenne, pas certain. Reste que c'est complètement ridicule pour un site de cette envergure de ne pas même proposer de choisir quelle version le visiteur désire. Exemple, The Other Guys est maintenant classifié sous le titre Very Bad Cops. WTF ? Je n'ai même jamais entendu parler de ce titre là !

Anyway, bad move IMDB !

20 février 2011

The Social Network (2010)

Pratiquement tout le monde l'utilise et son fondateur est le plus jeune milliardaire du monde. C'était évident qu'il allait avoir une film sur Facebook un jour ou l'autre. Il y avait déjà assez de substance, alors pourquoi attendre ?

On a droit ici à un heureux mélange de fiction et de documentaire. On pourrait donc dire qu'il s'agit d'un documentaire dramatisé, ou d'une fiction documentée. Peu importe, le dosage est bon.

Le but principal du film est de nous faire comprendre les débuts tumultueux de ce réseau social et non pas de nous montrer la vision unique d'un de ses intervenants. C'est évident que l'on est entraîné à suivre Mark Zuckerberg, il est comme un peu important dans tout ça, mais reste qu'on nous montre aussi la vision des autres personnes impliquées. À nous de nous forger notre propre opinion sur le sujet. J'avoue qu'on n'est pas porté à se ranger du coté des jumeaux Winklevoss, dépeints comme des vantards égocentriques. Mais heille, si tu veux, tu peux leurs donner ton vote, tu as le droit. J'aurais bien aimé voir leur visage après la première du film où ils étaient invités...

D'ailleurs, j'ai été surpris de voir que les jumeaux dans le film ont été joués par une seule et unique personne, soit Armie Hammer (ne pas confondre avec Arm & Hammer). Belle réussite, j'y ai cru.

Une chance que j'avais les sous-titres, parce que putain que ça parlait vite parfois. J'aurais sûrement eu moins de plaisir au cinéma à tenter de comprendre les multiples dialogues entre deux trop grosses bouchées de popcorn.

Oui c'est un bon film, mais de là à le voir favori dans plusieurs festivals et galas... pas sûr.

8/10
IMDB


19 février 2011

The Prowler (1981)

Ce film est aussi connu sous le nom Rosemary's Killer. Pas certain qu'il est vraiment plus connu sous ce nom...

Un des premiers films réalisés par Joseph Zito, celui qui nous a généreusement offert Invasion U.S.A. avec Chuck Norris. Ce film lui a d'ailleurs permis d'éventuellement réaliser Friday the 13th, the Final Chapter

Mais soyons franc, c'est un mauvais film avec plusieurs incohérences. Film à petit budget, donc de série B, je l'ai avant tout écouté pour un article sur Zito qui apparaîtra éventuellement sur le site extrabeurre.com, projet que j'ai entrepris avec Timothée Revil, vous irez voir ça ! C'était pour ce site qu'on avait subit les "Gingerdead Man".

Je dirais que c'est une structure très standard du film d'horreur/suspense, mais sans budget. 

Petit fait cocasse, les film est coté 5.8 sur IMDB, soit 0.1 point de moins que de The Switch. Comme quoi les cotes ne valent souvent pas dire grand chose !

3/10